Ce qui m’a marquée et touchée, c’est ce constat : c’est comme si on avait oublié que les femmes avaient un cœur. Leurs maux ne sont ni identifiés ni suffisamment répertoriés, elles n’en reconnaissent pas les signes. L’infarctus féminin a sa propre grammaire, à laquelle il faut éduquer les femmes et les médecins.
Mercedes Erra