Marseille les 7 et 8 mars, Nouméa le 9 mars, Issy-les-Moulineaux le 13 mars, Saintes le 21 mars, Site minier d’Arenberg près de Valenciennes les 26, 27 et 28 mars : les premières éditions ont tenu toutes leurs promesses, avec une forte satisfaction des femmes ayant pu bénéficier d’un dépistage cardiovasculaire et gynécologique gratuit, ainsi que des professionnels de santé qui ont participé.
L’action s’appuie sur les ressources existantes (humaines et matérielles), et s’adapte aux contraintes de la structure accueillante. Elle matérialise un dépistage en six étapes avec mesure de la pression artérielle, bilan lipidique et glycémique, ECG et echo-doppler vasculaire si nécessaire. Des bilans cardio-vasculaires et/ou gynécologiques seront proposés en suivi.
Dans un lieu public, les femmes ont moins de chances de recevoir un massage cardiaque d'un témoin que les hommes, ce qui entraine un plus grand nombre de décès chez elles. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(23)00875-9/abstract La première barrière est [...]
Ces études « genrées » sont importantes pour mieux appréhender la médecine préventive chez ces femmes et agir sur leurs comportements de vie. Les modifications des facteurs de risque cardio-vasculaire des femmes ménopausées sont bien connues comparativement aux femmes en activité génitale. [...]
Est-ce une bombe à retardement ? Depuis le début de la crise du coronavirus, les professionnels de santé ont constaté une chute des admissions aux urgences partout en France. "On a une baisse de 60% des hospitalisations", affirme sur Europe 1 la professeure Claire Mounier-Vehier, cheffe de [...]