Un petit déjeuner tôt le matin et un dîner pas trop tardif sont associés à un moindre risque d’accident cardiaque ou vasculaire cérébral. Manger tardivement, après 21h, est associé à une augmentation de 28% du risque de maladie cérébrovasculaire, par rapport à un dernier repas avant 20h, en particulier chez les femmes.
Egalement, une personne qui a pour habitude de prendre son petit-déjeuner à 9h aurait 6% de risque en plus d’avoir une maladie cardiovasculaire qu’une personne qui a l’habitude de manger à 8h.
Ces constats sont issus d'une étude menée sur un échantillon de plus de 100 000 personnes de la cohorte NutriNet-Santé, suivies entre 2009 et 2022. Les maladies cardiovasculaires représentent la principale cause de mortalité dans le monde avec 18,6 millions de décès chaque année en 2019, dont environ 7,9 seraient attribuables à l’alimentation.
Avec 1 053 professionnels de santé locaux qui se sont engagés bénévolement cette année dans les étapes du #busducoeurdesfemmes, chaque ville étape est devenue un écosystème tourné vers la santé des femmes. En 37 étapes depuis un peu plus de deux ans, près de 9 000 femmes ont été [...]
Elles peuvent être le signe d’un risque accru de maladie cardiovasculaire à la quarantaine et au-delà. N'hésitez pas à consulter ! Une méta analyse réalisée par une équipe de chercheurs de l'Université de Pittsburgh confirme la corrélation entre les signes vasomoteurs [...]
Un rapport publié par le programme Optim'IC pointe un diagnostic de l’insuffisance cardiaque souvent tardif et une articulation des soins entre la médecine hospitalière et la médecine de ville à optimiser. Il propose de systématiser le dépistage précoce de l’insuffisance cardiaque et [...]