Pour elle, le modèle de médecine axé sur les hommes est tellement répandu dans nos systèmes de santé et nos procédures que l’on ne perçoit même pas son existence. Elle propose un guide informatif et prescriptif pour que les femmes découvrent les spécificités de leur corps et les gestes de prévention pour réduire leurs risques. Et rappelle que le genre doit aujourd'hui être intégré comme une variable biologique dans les programmes de recherche.
Concernant les maladies cardio-vasculaires, nous constatons chaque jour chez les patientes que les symptômes des femmes ne correspondent pas toujours à ceux des hommes. Par exemple, chez eux, la plaque a tendance à s'accumuler, provoquant la rupture des vaisseaux sanguins. Chez les femmes, la plaque est plus susceptible de s'éroder progressivement, ce qui rend les vaisseaux sanguins plus rigides et moins flexibles au fil du temps. Diagnostics et traitements diffèrent…
https://www.theguardian.com/society/2020/may/24/why-does-medicine-treat-women-like-men
Dans les 16 villes étapes en 2024, 4 620 femmes ont bénéficié d’un dépistage gratuit, soit environ 300 dépistages par étape en moyenne. Près de 15 000 femmes ont été dépistées depuis le lancement du Bus il y a un peu plus de trois ans. 1 473 professionnels de santé ont été [...]
L'athérome se développe avec l’âge, plutôt chez les personnes exposées à certains comportements liés à l’hygiène de vie (sédentarité, tabagisme…) et présentant des facteurs de risque cardiovasculaire (cholestérol, hypertension artérielle…). L'épaississement des [...]
Huit mois après son arrivée à Agir pour le Cœur des Femmes, son Délégué national Erwan Martin fait un premier bilan et annonce quelques perspectives. Quel bilan tirez-vous de vos premiers mois à Agir pour le Cœur des Femmes ? Un bilan en trois mots : énergie, vitalité et singularité. [...]