Selon une étude du Ministère de la Santé, la fréquence de survenue d’un accident vasculaire cérébral parmi les personnes appartenant aux 25% les plus modestes est 40 % plus élevée que parmi celles appartenant aux 25 % les plus aisées. Et deux fois supérieur entre 45 et 64 ans. Appartenir aux 25 % des personnes les plus modestes augmente le risque de 22 % de paralysie qui persiste au-delà de 24 heures. Pour les troubles du langage, le risque est accru de 11 % chez les plus modestes. De même, un niveau de vie élevé est associé à une diminution de 11 % du risque de décès à un an. Les résultats de cette étude confortent pleinement la mission du Bus du Cœur d'Agir pour le Cœur des Femmes, qui se rendra dans 20 villes en 2022 pour proposer un dépistage des risques cardio-vasculaires aux femmes en situation de vulnérabilité.
https://www.leparisien.fr/societe/sante/le-risque-davc-et-de-sequelles-est-plus-eleve-chez-les-pauvres-09-02-2022-J3UZZQOPKJCG5MXA7DIDSJXVGM.php
Les femmes ont de nombreux récepteurs aux hormones du stress, les catécholamines, au niveau de leurs artères et de leur muscle cardiaque. Leurs artères coronaires (les artères du cœur) sont également plus fines que celles des hommes. Tout cela les rend plus vulnérables aux spasmes artériels [...]
De quoi parle-t-on ? Du sucre sucré au goût, d’abord, que l’on trouve dans les aliments et les boissons sucrées parce qu’ils sont riches en saccharose et en fructose : on parle de sucres. Mais l’amidon que l’on trouve dans le pain (et les céréales) et les pommes de terre n’est pas [...]
La lipidologie, spécialité qui s’intéresse aux lipides, est une discipline toujours en évolution et pas seulement pour les nombreux traitements qui arrivent. Les patients ont (pour beaucoup) compris la notion de « bon » et de « mauvais » cholestérol sans trop savoir les distinguer sur [...]