En appliquant inlassablement le principe de « l’aller vers » et en dédramatisant le contact avec le corps médical, Agir pour le Cœur des Femmes a déjà pu dépister près de 10 000 femmes depuis le lancement de son opération. 90 % d’entre elles présentaient au moins deux facteurs de risque cardiovasculaire, et près de la moitié cumulaient deux facteurs de risque cardiovasculaire et deux facteurs de risque gynéco-obstétrique.
10 000 femmes qui n’auraient pu être dépistées sans la force de la base : nos ambassadeurs en région.
C’est grâce à cette force et à ce maillage territorial tissé depuis 4 ans, que nous parvenons aujourd’hui à creuser un sillon de plus en plus profond au sein des différentes région de France.
Si le Bus a pu poursuivre son action en Charente-Maritime et plus particulièrement à La Rochelle après son passage en 2022, il a revanche découvert Montauban et l’Esplanade des Fontaines grâce à Brigitte Barèges, maire de la commune, qui avait exprimé une forte volonté de voir le Bus passer dans sa ville.
Deux succès incontestables au profit des femmes de ces territoires que nous devons également à la forte mobilisation des professionnels de santé qui répondent toujours présents à l’appel du Bus du Cœur des Femmes.
Rappelons que les maladies cardiovasculaires restent la première cause de mortalité chez les femmes françaises, et que dans 8 cas sur 10, ces décès pourraient être évités grâce à une prévention efficace !
Il faut à la fois : • Pratiquer des exercices d’endurance qui préviennent le risque cardiovasculaire (diminution de la tension artérielle, du cholestérol, du risque de développer du diabète, du risque de prise de poids). La prise de masse grasse est différente à partir de la ménopause : [...]
En matière de tension artérielle, la mesure est quelque chose de fondamental puisque toute la prise en charge va se faire à partir de ces chiffres : la définition des valeurs considérées comme normales, le diagnostic : la tension artérielle est-elle trop élevée?, la décision de débuter un [...]
Selon une étude du Ministère de la Santé, la fréquence de survenue d’un accident vasculaire cérébral parmi les personnes appartenant aux 25% les plus modestes est 40 % plus élevée que parmi celles appartenant aux 25 % les plus aisées. Et deux fois supérieur entre 45 et 64 ans. Appartenir [...]