Ce qui m’a marquée et touchée, c’est ce constat : c’est comme si on avait oublié que les femmes avaient un cœur. Leurs maux ne sont ni identifiés ni suffisamment répertoriés, elles n’en reconnaissent pas les signes. L’infarctus féminin a sa propre grammaire, à laquelle il faut éduquer les femmes et les médecins.
Mercedes Erra
SOUTIEN : « Un homme de mon âge est parfois surpris, mais il est rarement émerveillé comme il peut l’être par les initiatives multiples que prend le Professeur Claire Mounier-Véhier en créant, avec l’aide irremplaçable de Thierry Drilhon, cette association d’intérêt général : Agir [...]
SOUTIEN : « Convaincu et très impliqué dans la médecine préventive depuis plus de 50 ans, j’ai à cœur de soutenir l’action remarquable d'Agir pour le Cœur des Femmes, une priorité médicale et sociétale sur laquelle nous pouvons et devons agir aujourd’hui ensemble. » Pr André [...]
Préservons le Coeur des femmes, elles nous le rendent si bien !
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